Qui Suis-je ?

Présentation

Depuis toujours passionnée par la graphologie et les écrits, j’ai découvert alors que la graphothérapie était le moyen de « réparer » une écriture. Véritable révélation, j’ai décidé de m’y consacrer afin d’aider enfants et adultes qui connaîtraient des troubles similaires à ceux de mon fils.

 

Dans mon cabinet, je reçois des enfants aux profils multiples : certain(e)s sont dit(e)s « haut-potentiels », d’autres dyslexiques, porteurs de troubles de la coordination (dyspraxiques), TDA/H, d’autres encore présentent des signes d’anxiété face aux apprentissages, ont une mauvaise image d’eux (elles) ou présentent simplement une mauvaise tenue de leur crayon.

 

Ayant longtemps pratiqué le soutien scolaire auprès de jeunes nécessitant un accompagnement personnalisé, je suis sensibilisée à ces différents profils ainsi qu’aux troubles des apprentissages.

 

Je suis par ailleurs formée afin de détecter la présence de réflexes archaïques non intégrés qui viendraient perturber le parcours scolaire de certains enfants.

 

Je travaille en collaboration avec de nombreux praticiens ( psychomotriciens , orthoptistes, kinésithérapeutes, ostéopathes, orthophonistes, neuropsychologues, psychopédagogues, psychologues  et professionnels en réintégration de réflexes archaïques) de mon secteur afin qu’ensemble nous puissions assurer une prise en charge sérieuse et globale de l’enfant.

 

Enfin, je suis sophrologue,  formée à l’école  ISEBA de Bordeaux, certifiée au RNCP. J’offre ainsi une approche pédagogique multidimensionnelle lors des séances de graphothérapie.

 

 

Sandrine Paraud Marot

Graphothérapeute, graphologue et sophrologue certifiée​

Je suis graphologue, graphotérapeute et formatrice en graphothérapie, formée auprès du CNPG.

 

J’exerce en cabinet libéral au Pôle Santé du Centre du Pian Médoc, dans un environnement calme et propice à un accompagnement de qualité.

 

Initialiement cadre commerciale, je suis la maman d’adolescents dont l’un a rencontré des difficultés au moment du passage à l’écrit.

Lorsqu’à ses 8 ans, à force de chercher pourquoi il ne parvenait pas à former une seule lettre correctement, malgré toute sa bonne volonté, on m’a annoncé que ce problème portait le nom de dysgraphie, je me suis senti complètement démunie. Je ne savais pas vers qui me tourner pour l’aider. Ni l’école, ni le corps médical ne me proposaient de solution. C’est alors que j’ai rencontré une graphothérapeute qui a rééduqué son écriture et sans doute sauvé sa scolarité.